en ligne directe, et des ventes morcelées des grandes propriétés.
La division des propriétés a ses partisans et ses détracteurs ; mais je crois que c’est faute d’avoir envisagé la question sous son vrai point de vue, que les opinions sont encore partagées à ce sujet.
Par-tout où la main d’œuvre est abondante ; là où la culture des grains et des fourrages artificiels ne peut pas recevoir de grands développemens ; là où le peu de fertilité du sol permet tout au plus d’y cultiver la vigne, la division des propriétés est avantageuse ; l’impossibilité d’y nourrir des bestiaux appelle les bras de l’homme pour y suppléer : ces petites cultures fertilisent un sol qui, sans cela, resterait stérile.
Une petite propriété placée entre les mains d’un homme laborieux et intelligent produit constamment plus que