Page:Charles-Joseph Mayer, Vie de Marie-Antoinette d'Autriche, reine de France, femme de Louis XVI, 1793.djvu/194

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ble coëffeur, la lubrique Juers, la petite Campan, quelques musiciens et chanteurs, voilà la digne société à laquelle Marie-Antoinette donnoit la préférence, et la dignité que la fille de Marie-Thérèse portoit sur le trône de France. Libertinage affreux, adultères multipliés, prostitutions méprisables, et les plus sales orgies, tels étoient les moyens que cette bacchante employoit pour s’attirer le mépris du peuple qui ne daignoit plus s’occuper d’elle.

Il ne suffisoit pas à cette quatrième furie d’être dédaigné du François ; elle voulut encore s’en