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ne pouvant résister à celles de Sigebert, je résolus de sauver mon époux par un moyen violent ; je remarquai dans l’armée deux jeunes gens aimables, et assez enthousiastes de mes appas pour obéir à mes ordres ; je les rendis heureux, mais à une condition, qu’ils me promirent de remplir. Après leur avoir prodigué les carresses les plus tendres, j’armai leurs mains d’un poignard, et leur apprit l’usage qu’ils en devoient faire ; ils m’obéirent, et Sigebert fut assassiné. Chilpéric profita de cette circonstance et battit les troupes de son frère.
J’immolai de même à mon intérêt l’un des fils de Chilpéric,