Page:Charles-Joseph Mayer, Vie de Marie-Antoinette d'Autriche, reine de France, femme de Louis XVI, 1793.djvu/495

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 133 )

mieux que tu conserves pour d’autres momens ces doux présens de l’amour, il doit seul en disposer l’usage. Campan te dira le moment où ta souveraine te rendra au bonheur.

Au Marquis de Champcenetz.

J’ai reçu, marquis, vos vœux quoiqu’un peu téméraires ; mais je suis bonne. Confiez-vous à Denise, elle vous introduira dans un endroit où nous pourrons nous expliquer sans crainte.

Lettre du Comte d’Artois.

Qu’as-tu donc, ma toute belle ? tu me boudes ; mais en vérité cela n’est pas bien. J’ai hier crevé un cheval tout exprès pour revenir

  Tome III, IVe Partie.
L