Page:Charles Derennes Le peuple du pôle 1907.djvu/192

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
188
le peuple du pôle

moi de ma poitrine, froisser, déchirer, écorcher jusqu’au sang les nerfs de ma gorge. Puis je sentis tout mon être chavirer et, m’étant appuyé pour ne pas tomber aux barreaux de fer qui emprisonnaient ma dernière espérance, j’éclatai en sanglots.