Page:Charles Dumas - L’Ombre et les Proies, 1906.djvu/206

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Ou qu’un roc fracassé s’abattant tout à l’heure
Fermerait aux intrus notre étroite demeure,
Ivre, tu recevais du granit qui surplombe
La fraîcheur qui s’épand sous les dalles des tombes.
Retenant ton haleine avec effort, afin
De savourer pendant une seconde, enfin,
L’illusion, la joie absolue et la paix
Que notre amour vivant ne connaîtrait jamais.