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ET LES FLAGELLÉS DE PARIS


CONCLUSION




J’ai dit au début de ce livre : La flagellation, c’est l’apéritif de l’amour.

Cela a pu paraître un paradoxe à mes lecteurs. Néanmoins, rien n’est plus vrai, si on prend la peine de l’expliquer scientifiquement.

Pour pratiquer le coït, il faut la production d’une érection suffisante qui, à l’état normal, dans un corps sain et jeune, est provoquée par une action réflexe, — sensation de la peau, la vue d’objets apparents et palpables, effet d’imagination, souvenir d’une personne amie, attouchements, violents désirs, etc., etc.

Le centre de l’érection, qui réside dans la moelle sacrée,est sollicité par des excitations périphériques provenant soit des glandes séminales, soit exercées sur les nerfs sensibles, soit sur ceux du cerveau surexcité par des pressions érotiques ou phy-