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LXXV
ET LES FLAGELLÉS DE PARIS

même, et ainsi finit mon aventure de flagellation.

Il n’y a ni commencement ni fin à mon récit — cela j’en conviens — ni aucune moralité à en tirer, mais les silhouettes faiblement tracées de Mme « Tiresias », Marthe, Nina et Marcelle serviront peut-être un jour comme observations à quelques-uns des disciples du maître Jean de Villiot à qui j’offre ces quelques pages, en le priant de bien vouloir excuser les fautes et les faiblesses de l’auteur. Soyez indulgent pour lui, puisqu’il fut frappé dans sa luxure avide par l’abandon de Marcelle — la justice immanente punissant le débauché — châtiment plus cruel encore que la plus torturante flagellation, car la douleur physique passe, mais le regret d’amour et de passion est éternel.

De Fronsac.