Page:Charles d Orléans - Poésies complètes, Flammarion, 1915.djvu/168

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Et trop plains de leur vouloir !
Au fort, je les metz au pis,
Facent selon leur advis ;
Plus ne crains, dont Dieu mercie,
L’amoureuse maladie.


ENVOI

     Quant je voy en doleur pris
Les amoureux, je m’en ris ;
Car je tiens, pour grant folie,
L’amoureuse maladie.


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