Page:Charles d Orléans - Poésies complètes, Flammarion, 1915.djvu/398

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<poem style="margin-left:8em; font-size:100%"> RONDEAU LXIX. Et de cela, quoy ? Se Soussy m’assault, A mon cueur n’en chault, N’aussi peu à moy. Comme i’apperçoy, Courroux riens n’y vault. Et de cela, quoy, Se Soussy m’assault? Par luy je reçoy Souvent froit et chault, Puisqu’estre ainsi tault, Remède n’y voy; Et de cela, quoy ? RONDEAU LXX. Et de cela, quoy? En ce temps nouveau, Soit ou laid, ou beau. Il m’en chault bien poy. Je demourray quoy En ma vieille peau. Et de cela, quoy, En ce temps nouveau ? Plusieurs, comme voy, Ont des pois au veau; Je mettray mon seau Qu’ainsi je le croy. Et de cela, quoy ?