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se préoccupât de l’avenir du drame lyrique, déterminé des règles d’esthétique musicale dont l’expérience a démontré l’irréfragable souveraineté !
Le litige principal est donc vidé et l’arrêt prononcé par le bons sens et le bon goût public ; il est démontré que M. Wagner ne considère la critique que comme un moyen d’exalter sa personne et de glorifier ses œuvres. Pourrait-on rester surpris, après cela de cette déclaration que la « critique vit de l’entretien perpétuel de l’erreur ? » Il atteste d’ailleurs au même endroit que l’erreur « est le progrès. » Nous serions assez volontiers de son avis s’il consacre ses théories musicales et esthétiques comme une des formes du progrès.