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Chant de Psammeris,
sous le figuier des banians.
Suite de la Zendovère.
Quels célestes attraits se montrent sous ses larmes !
Quel chantre aimé du ciel décrira tant de charmes ?
Ses ailes, de son corps unique vêtement,
Tombent, et de leurs plis l’entourent mollement :
Ainsi, lorsque la paix renaît avec la joie,
Au repos condamné, l’étendard se reploie ;
Tel le nuage roule en contours tortueux
Et retient dans ses flancs l’éclair impétueux
Son œil bleu fait briller une tendre lumière
Sous l’ébène léger de sa longue paupière.