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Page:Chateaubriand - Œuvres complètes, éd. Garnier, 1861, tome 4.djvu/481

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3e. — page 153.

Je m’embarquai au port de Nîmes.

Voyez la Préface.


4e. — page 153.

Marcellin m’admit au repentir.

Pour les erreurs du genre de celles d’Eudore, l’expiation étoit de sept ans : ainsi Marcellin fait une grâce au coupable en ne le laissant que cinq ans hors de l’Église. Les premières éditions des Martyrs donnoient sept ans à la pénitence du fils de Lasthénès ; ce qui étoit la totalité du temps canonique.


5e. — page 153.

Il étoit encore en Égypte.

On se souvient que lorsque Eudore partit pour les Gaules, Dioclétien étoit allé pacifier l’Égypte, soulevée par un tyran qui prétendoit à la pourpre. (Voy. liv. v et liv. ix.)


6e. — page 153.

Mole de Marc-Aurèle.

Peut-être Civita-Vecchia.


7e. — page 153.

Porter du blé destiné au soulagement des pauvres.

On lisoit dans les éditions précédentes : « Chercher du blé. » (Voyez la Vie de saint Jean l’Aumônier, dans la Vie des Pères du désert, trad. d’Arnault d’Andilly, page 350.)


8e. — page 154.

Utique… Carthage… Marius… Caton, etc.

Voici un ciel, un sol, une mer, des souvenirs bien différents de ceux des Gaules. J’ai parcouru cette route d’Eudore : si le récit de mon héros fatigue, ce ne sera pas faute de variété.


9e. — page 154.

À la vue de la colline où fut le palais de Didon.

En doublant la pointe méridionale de la Sicile, et rasant la côte de l’Afrique pour aller en Égypte, on pouvoit apercevoir Carthage. J’aurois beaucoup de