Aller au contenu

Page:Chateaubriand - Œuvres complètes, éd. Garnier, 1861, tome 4.djvu/504

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


23e. — page 175.

La colère de cette déesse, etc.

Ô haine de Vénus, ô fatale colère !
(Racine, Phèdre, acte I, sc. 3.)


24e. — page 175.

À chercher le jeune homme dans la palestre.

Βασεῦμαι ποτὶ τὰν Τιμαγήτοιο παλαίστραν
Αὔριον.

(Théocr., Idylle ii, v. 8.)


25e. — page 175.

La langue embarrassée.

Je sens de veine en veine une subtile flamme
Courir par tout mon corps sitôt que je te vois ;
Et dans les doux transports où s’égare non âme,
Je ne saurois trouver de langue ni de voix.
(Boileau, Traduction de Sapho.)

Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler ;
Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
(Racine, Phèdre, acte I, sc. 3.)


26e. — page 175.

À recourir à des philtres.

Πᾷ μοι ταὶ δάφναι ; φέρε, Θέστυλι. Πᾷ δὲ τὰ φίλτρα ;
............. Αλλά, Σελάνα,
Φαῖνε κακόν· τὶν γὰρ ποταείσομαι ἄσυχα, δαῖμον,
etc.
(Théocr., Idylle ii, v. 1 et 10.)


27e. — page 175.

Qu’il s’assied sur le dos du lion, etc.

(Voyez les mythologues et sculpteurs antiques.)


28e. — page 175.

Quelle religion est la vôtre ?

Voilà ce qui explique l’espèce de contradiction que l’on remarque entre le commencement et la fin du discours de Cymodocée.