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ADDITIONS

recevrai-je ? quoi de plus honteux : le refuſerai-je ? il penſera que je le hais juſqu’à ne pas vouloir recevoir de lui les honneurs même. de Triumpbo ſi premar, accipiam quid fœdius ? negem… ita me ſibi inimicum putabit, ut ne honorent quidem a ſe accipere velim. Ibid. lib. ix. ep. 2.

Pag. 204. N.cxxvi. J’aurois du également apporter en preuve de ce que j’y dis d’après Plutarque de la manière dont Auguſte trompa Cicéron, deux textes : l’un Cicéron dit à Atticus qu’il recevoit tous les jours des lettres d’Octavien qui lui recommandoient la Republique, & de s’en montrer de nouveau le Père & le ſauveur. Ab Octaviano quotidianæ litteræ ut iterum Rempublicam ſervarem : ad Attic. lib. xvi. ep. 11. & l’autre, ou il lui aprend qu’il en a reçu deux en particulier, où il lui proteſte qu’il ne veut rien faire que par le Sénat, & par son Conseil (de lui Cicéron). Bina mibi litteræ ab Octavianovelle se rem agere per Senatum, additConsilio tuo. Ibid. lib. xvi. ep. 9.

Pag. 226. Le fils de Cicéron ne fut pas collègue mais Suffect ou subrogé d’Auguste.

Pag. 237. Situation de la Ville de Cales mal aſſignée : j’étois paſſé par le lieu deux fois lorſque j’écrivis cet article, mais l’expérience m’a apris que cela ne suffit pas ſouvent. Ce n’eſt qu’au troiſième Voïage que j’ai bien reconnu ce que j’en rapporterai dans la III. P. à l’occaſion de la Voie Latine.

Pag. 319. Ajouter que l’Isle de l’embouchure du Tibre ſe trouve apelée dans un Ancien cité par Cluvier, Libanus Almæ vénéris ; ce