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Le piedeſtal de cette ſtatue & dans l’éſcalier du Château de Marino & la Copie de ſon Inſcript. chez Grutter page 1089.
Ce deuxième monument eſt rapporté par Fabretti dans ſes Inſcrip. c. VI. page 463.
élevée à un célèbre Archimime le fut par le corps des gens du même état le plus nombreux, comme on le voit par le Catalogue qu’en offre un de cotés du piédeſtal. Un autre monument eſt celui d’une ceſſion d’un grand emplacement pour ces Fêtes publiques que Rome devoit à ſes Édiles, c’eſt-à-dire, ce combats des Betes, ou d’Hommes qui en étoient le fonds. En conſéquence l’école nommée dans le même monument doit être jugée de Gladiateurs. Le lieu occupé jadis par Bovilles eſt plein de ruines, dont la plus conſidérable eſt ſans doute du Temple conſacré ſurtout à Auguſte, depuis que le Corps de cet Empereur mort à Nole, qui avoit été porté juſques là ſur les épaules des Décurions qui étoient les premiers Magiſtrats municipaux, le fut depuis cette Ville ſur celles des membres de l’ordre Équeſtre[1].

J’ai parlé également de la ſuite de la Voïe Appiènne depuis Bovilles par la cote du moderne Albano, où elle rencon-

  1. Sacrarium genti Juliaæ, effieſque D. Auguſti apud Bovillas dicantur. Tacit. Ann. lib. II. med.

    Corpus Decuriones a Nola Bovillas uſque deportarunt, a Bovillis Equeſter Ordo ſuſcepit. Sueton. in Aug.