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Page:Chevalier - Madame Th Bentzon.djvu/27

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nesque et ancien régime. Mais il fallait leur donner un peu de backbone, c’était ce qui leur manquait. — Cadeau plus précieux que tout autre, ajoute Th. Bentzon, et dont je l’ai remerciée cent fois dans ma vie, car ce qu’elle appelait le backbone, c’était la volonté, la persévérance, le sentiment de la responsabilité ».

À propos d’une composition anglaise sur la mort d’une poupée brisée. Miss Too-too prédit à son élève de neuf ans un bel avenir littéraire. Le marquis et la marquise de Vitry jetèrent les hauts cris. « Voulait-elle faire de leur petite-fille une pédante, un bas-bleu ? » On la pria de ne plus jamais exprimer de semblables idées. En attendant, la future femme-auteur suivait à Paris le cours renommé de Lévy-Alvarès, « un éveilleur d’idées émérite qui savait inspirer à ses élèves la curiosité, la passion de l’étude. » Thérèse y brilla par ses compositions françaises