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SUR MARAT. 267

formé un parti formidable pour opérer une contre- révolution, que l'ami du peuple devait se mettre à la tête, qu'on avait fait chez lui des amas d'armes, et que sa cour était garnie de canons... » (Appel à la nation, par Marat.) C'est pour cette belle équipée de Necker, que Bailly et Lafayette levèrent, le 22 janvier 1790, une armée de 6,000 hommes, infanterie, cavalerie et artillerie.

JUSTIFICATION DE M. NECKER, premier ministre des Finances, ou réponse à la dénonciation du sieur Marat.

Par un citoyen du district de Sain t-André-des- Arts.

De l'imprimerie de la Société typographique, col- lège des Cholets. — In- 8 de 29 pages.

TRAHISON CONTRE L'ÉTAT, ou les Jacobins dévoi- lés. — Réponse aux n*»» 137 et 139 de VAmi du peuple.

Au manège, de l'imprimerie des vrais patriotes, l'an de la suite des désordres et de l'anéantissement des perturbateurs, 1790. (In- 8 de 16 pages. Voir Le Quérard, art. Marat, n"" 73.)

ÉPITRB DE MARAT l'alné A MARAT le cadet. Paris, le 12 septembre 1790.

Sans imprimerie. — In-8 de 16 pages.

Accusé de modérantisme dans la société des Jaco- bins, séance du lA, du premier mois de l'an II, Ben- tabole s'écrie : a Modéré I moi qu'on appelait à la Con- vention Marat le cadet. » (Moniteur du 18, du premier mois de l'an II. V. s. 9 octobre 1793.)

RÉPONSE AUX DERNIERS NUMÉROS DE MARAT. Notes pour servir à l'histoire militaire de M. de Lafayette,