380 DESSINS ET ESTAMPES.
Avec cette citation, faussement attribuée à Mai*at : a mes concitoyens! si vous ne troublez pas la précieuse harmonie qui règne dans l'Assemblée natio- nale, la révolution la plus salutaire se consomme irré- vocablement sans qu'il en coûte ni sang à la Nation ni larmes a, Fhumanité. » — In- 8*.
MAR\T. Dans un médaillon ovale, sur fond équarri. Dans une tablette au-dessous, cette inscription :
Peuple vois ton ami qui pour i% liberté, Au péril de ses jours te dit U vérité.
Ch portrait (signé Blanchard), sd trouve à Paris, chez Rochette, rue Saint-Jean-de-Beauvais, n® 38.
Dans le haut du médaillon : Jean -Paul Marat, l'ami du peuple. Édité pour le Plan de législation criniinelle, par Marat.
Ce portrait, de profil à droite, coiffure à marteau, vêtement civil du xviu* siècle, chemise à jabot ouverte sur la poitrine, bien différent, comme type, de tous les autres, offre l'intérêt particulier d'avoir été publié sous les auspices de Marat.
MARAT. Signé Bellot, se. — Imité de Boze, gravé sur bois pour illustration de la réimpression de l'ancien Moniteur.
(C'est plutôt une affreuse caricature qu'un por- trait.)
MARAT. Reproduction du précédent dans le journal r Autographe^ du samedi 1" octobre 1864.
MARAT. Gravé en couleurs par Angélique Briceau, femme Alais. — Grand médaillon ovale; au-dessous : J.-P. Marat. N'ayant pu le corromprCy ils Vont assas' sine.