PORTRAITS. 381
Paris, chez l'auteur, rue de la Bariilerie, maison du citoyen Lecler, apothicaire... et chez Bance, rue Saint- Severin, n« 115. (Grand in-folio.)
MARÂT. Exactement le même, quant à la gravure, mais <ivec ces inscriptions : J.-P. Marat, Tami du peuple. Député à la Convention nationale, né à Genève en 17A3, assassiné le 13 juillet 1793, et élevé aux honneurs du Panthéon.
Ami zélé du peuple il était fto:i flambeau. Toutefois, il Téclaira sur le bord de Pablme, Des tyrans confondus Marat fut la victime, Mais Marat glorieux les entraîne au tombeau.
(ParleC*"Per8on).
Hauteur de la planche 0'°,i20 sur 0"*,305. Édité comme la précédente, sur gr. in-folio.
J.-P. MARAT. Né à Genève, âgé de cinquante ans, député à la Convention nationale, assassiné par M.-A.- Ch. Corday, le 13 juillet 1793. D*après le busie par Deseine, sourd et muet. Dessiné par Fouquet, gr. p. Chrétien inv. du physionotrace, cloître Saint-Honoré, à Paris.
Portrait de profil à droite, en manière noire, coiffure à marteau, habit civil laissant passer un jabot blanc.
Un des meilleurs et le plus rare des portraits gra- vés. Médaillon rond du diamètre de 0"",053.
MARAT. Par J. Caron, se. Publié par Fume, à Paris (pour in-4 et in- 8).
MARAT. Et sur la même feuille ROLAND. Signé Duc, del., Reville, sculp. (Fragment d'une gravure sur bois pour in-A.)
MARAT. Par Th. Fragonard, del., André Castel,