Page:Chivot et Duru, Les Braconniers.djvu/119

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GINETTA.
––––––––––Mais non. Mais si.
MARCASSOU.
––––––––––Mais non.
GINETTA.
––––––––––Mais non. Mais si.
MARCASSOU.
–––––––––Non, non, non, non, non !
GINETTA, BIBLETTO.
Si, si, si, si, si !
MARCASSOU.
Non, non, non, non, non !
MARCASSOU, parlé.

Elle ! elle ! une femme !

GINETTA.
––––––Mon ami, mettez vos lunettes,
––––––Regardez et détaillez bien ;
––––––Voyez d’abord ces mains blanchettes,
––––––Ce pied mignon et ce maintien ;
––––––Voyez ce teint semé de roses,
––––––Ce sourire rempli d’appas…
––––––Voyez, voyez toutes ces choses,
––––––Que vous, messieurs, vous n’avez pas.
–––––––––––––Non…
–––––––Chez la femme, chez la femme
–––––––––Tout est ravissant,
–––––––––Pimpant et sémillant ;
–––––––Chez la femme, chez la femme
–––––––––On trouve candeur
–––––––––Et charme séducteur.
ENSEMBLE.
GINETTA, BIBLETTO.
Chez la femme
Tout est ravissant,
Pimpant et sémillant.
MARCASSOU.
Chez la femme
On voit fréquemment
Plus d’un charme qui ment.
MARCASSOU, allant à Bibletto.
––––––Oui, je regarde, j’examine,
––––––Et je vois bien de jolis traits,