Page:Choix de discours de réception à l'Académie françoise, tome I, 1808.djvu/18

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BI d A.CA1MÉ JHE mSÇOtU.

roieijt admis dans son sein de «livre CQt exemple ( j ). Ce nouveau* devoir étojt d’au-rtant mieux établi ,, qu’il réparoit eu quelque ee^te l’oubli d’un des -articles du iréglemepfc. de cette Compagnie, par lequel il étoit ordonné , qu’à la ; morî des. Académiciens, ou* feroit leur éloge et lèifr.épitaphe eu vers. Cet honneur n’avoit été rendu-qu’une fois , «t-, c’était au premier membre, dont J’ApUr. démie pleura la perte (a). Ces complimee^s de peu d’étendue se. prononcèrent à huip des , -et devant les Académiciens, seuls » ■ , ’ ” ’

tant qu’ils s’assemblèrent d*ms l’hôtel de ; M* - Ije chancelier 3éguier. Mais lorsque, honorée de la protection de Louis XIV , l’Académie tint ses séances au Louvre >. elle ouvrit ses portes au public dans les jours de cérémonie. Les discours de réception prirent dès-lors une forme nouvelle et «n ton plus élevé ; ils’ dftvimept.».dans 1p. (1) MM. Colberfret d’ArgensonyM. le eomtte de QernaGDfct : ~(Lofii&de Bourbon^Condéj) ont été. senUdispen&éa de cette .obligation _ ■’ ?

(2) M. Bardin. M. Godèan fit son éloge, M. l’âbbé de Cerisj*’ fit l’épitaphe en prose, et M. Chapelain l’épitaphé en.ver^.