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Page:Choquette - Les Ribaud, 1898.djvu/130

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VII

LA CHANSON DU FOU

Enroulée, entortillée dans sa mante, par ce soir sec et froid qui fixe déjà un duvet de frimas aux vitres, aux branches des arbres, Madeleine se promène sans savoir, allant et venant d’après un mouvement automatique, sur la vérandah de la demeure de son père.