Page:Chouinard - L'œil du phare, 1923.djvu/172

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
171
LOIN DE LA TERRE NATALE

prendre ce qu’un travail généreux peut produire chez un peuple généreux. »

Ces paroles énergiques de son cousin, l’offre et les moyens qu’il mettait à sa disposition ouvrirent aux yeux de Jean Pèlerin un aspect tout nouveau de son avenir. Un sourire aux lèvres et des larmes dans les yeux lui servirent de réponse et de remerciements.

Ils se quittèrent à Rome, les bons cousins, heureux tous deux, l’un de sa richesse paternelle, l’autre de ses nouvelles espérances.