Page:Chouinard - L'arriviste, 1919.djvu/244

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l’imprégner de leur subtile odeur ; tandis que dans son esprit une voix mystérieuse, provoquée par la filiation des idées, s’élève et chante :

« Ici-bas, tous les lilas meurent,
Tous les chants des oiseaux sont courts !
Je songe aux étés qui demeurent
xxxToujours ! »