Page:Cicéron - Œuvres complètes, Lefèvre, 1821, tome 28.djvu/7

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l’âge ; qu’enfin le souvenir d’une vie active et presque toujours dévouée, joint aux consolations d’une âme religieuse, suffit pour leur faire envisager sans effroi le jour du repos. Ces Lettres, où l’on trouve quelquefois beaucoup d’élévation et de sentiment, sont écrites avec grâce et facilité.

Les réflexions de madame de Lambert sur la Vieillesse, que le nouvel auteur paraît n’avoir point connues, ont peut-être quelque chose de plus piquant ; mais elles sont présentées sans ordre, et laissent trop voir l’abus de l’esprit.

J.V.L.