Page:Cinq nô.djvu/108

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I loo C I N Q N O “ L'abondance régne en la contrée d’Akitsu (‘). 1 Les vagues font silence sur les quatre mers (’). ” De la Corée, de la Chine, tous Les tributs (') trouvent ici (‘) le terme de leur route. i Au temple d’Anraku je suis arrive (') (bis). p Tous trois vont s'asseoir a droite, face a la scene, le waki _ en avant, au pied de la colonne. scENE 11. lntroduction instrumentale. Entrée du more et du sbiic, dans cet ordre. Tous deux sont vétus en jardiniers, les manches relevées pour le travail. Le sbite porte un masque de vieillard. ll tient a la main un baton pourvu de petites branches, servant a enlever ce qui pourrait s’accrocher aux arbres. Ils s’arrétent sur le pont, entre les pins, et se font face pour le chant de l’issei. sum et Tsuaa. A O fleurs de prunier, coiffure que porte a sa venue le [printemps, Et que l'oiseau, dit-on, tresse a travers les branches (‘)! t TSURB (tourné vers le public). Des aiguilles du pin, la teinte aussi est dans tout son éclat. l SHITB et TSURE (se faisant face). O vert profond dix fois renouvelé (’)l Ils entrent en scene; le tsun se place au milieu, le sbite a gauche. sum. Tendu vers la brise, en secret elles éclosent; et lorsque [s'ouvre L'année, au seuil [que garde] le pin, protecteur des H feuilles ('), Q " w