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Page:Cinq nô.djvu/109

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l`T'T'F"` ‘ O I M A T S U 101 sum; et rsune. Elles font accueil au printemps (‘). Et soudain Humides de rosée, toutes les herbes, tous les arbres Sous la bonté des dieux semblent frissonner. O luxuriance qui partout dit le printemps! Au temple du dieu et du Buddha (’) ou nous portons Dans la lumiére tiéde de ce jour de printemps, [no pas Les racines des pins Rampent entre les pierres ou les nattes de mousse ( 's S’étendent. Comment la poésie de Shikishima (‘) Pourrait-elle finir? Sur cette montagne, [branches Voilant le ciel une neige tombe (‘). Pour les vieille ll faut craindre, et plus encore pour les fleurs en pl in [éclat. Pour que nulle main ne les brise ('), veillons sur ce pru— [nier. Allonsl tout autour de ces fleurs dressons une haie Autour de ces fleurs de prunier dressons une haie scENE nr Le {sure s’écarte vers le coin de la scene; le shite s pl cc au milieu. Le waki se léve et se tourne vers lui. wma. Hola! je voudrais demander quelque chose au vieill rd qui est la! _ sums. C’est in moi que vous vous adressez? De quoi s'·1 it il WAKI. ]'ai entendu parler de Prunier·Volant; quel est 1 rb qu'on nomme ainsi?