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VIII

ENCORE UN MOT.


Telle fut cette vie, telle fut cette œuvre. Il faut les prendre comme elles sont avec la flamme et les scories. — Yo soy que soy, c’était la devise de Pétrus Borel : — Je suis ce que je suis. — Cette destinée a pourtant trouvé des juges sévères. Je lisais hier dans un pamphlet sur les Hommes et les mœurs en France sous le règne de Louis-Philippe, des pages violentes et chargées de reproches où toute cette école de fantaisistes, — les grands écervelés, les sublimes gamins de 1830, — est traitée durement. Et quant à ce qui touche à Borel : « Pourquoi finir par des chevaux (dit le pamphlétaire, qui prétend que Borel était inspecteur des haras), pourquoi finir par