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Page:Claude Boyer - Les amours de Jupiter et de Sémélé, 1666.djvu/4

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Votre Majesté, le seul intérêt de mon Ouvrage m’a inspiré la hardiesse de vous le consacrer ; j’ai cru que je n’avais que ce moyen pour achever sa gloire, et pour assurer sa réputation, et que pour faire valoir mon présent, je pourrais publier hautement qu’il a eu l’honneur de plaire à Votre Majesté ; quoique la plus illustre Cour de l’Europe puisse rendre ce témoignage, je n’ai garde de perdre une si belle occasion d’en parler. Puis-je laisser à la Postérité une idée plus avan-