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Page:Claude Boyer - Les amours de Jupiter et de Sémélé, 1666.djvu/5

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tageuse de la bonne fortune de ma Pièce, que celle d’avoir amusé agréablement le plus grand Roi du monde, d’avoir suspendu trois heures de suite ces glorieux soins et cette Royale inquiétude qu’il donne à la conduite de la première Monarchie de la terre, et d’avoir occupé l’attention d’un esprit, dont les vastes pensées embrassent toutes les parties de l’Europe, et s’étendent jusques aux deux bouts de l’univers ? Mais, SIRE, l’oserai-je dire à Votre Majesté ? Il