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Page:Cleland - La Fille de joie (éd. 1786).djvu/282

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Il n’eut qu’à défaire mes juppes & lever ma chemiſe juſqu’au nombril, ce qu’il fit : lorſqu’il vit mon poſtérieur à nud, il le contempla avec joie : puis me coucha ſur le banc, poſant ma tête ſur le couſſin. J’attendois qu’il me liât, & j’étendois même déja en tremblant les mains pour cet effet ; il me dit qu’il ne vouloit pas pouffer ma conſtance juſqu’à ce point, mais me laiſſer libre de me lever quand le jeu me déplairoit.

Tout mon derriere nud étoit pleinement à ſa diſpoſition : il ſe plaça au commencement à une petite diſtance de ma perſonne, & ſe délecta à parcourir les plus ſecrets recoins de la partie que je lui avois abandonnée ; puis ſautant vers moi, il la couvrit de mille tendres baiſers, & prenant alors les verges, il commença à badiner légérement ſur ces deux maſſes tremblantes ; mais bientôt redoublant peu à peu ſes coups, mes pauvres feſſes ſanglantes s’ouvrirent en mille