plus que personne ? Or, il déblaie, il dégage, il dépouille le rythme. Est-ce de nouveau la musique sur qui, disait Nietzsche, « l’esprit danse », après la musique « dans quoi l’esprit nage ».
¶ Ni la musique dans quoi on nage, ni la musique sur qui on danse : DE LA MUSIQUE SUR LAQUELLE ON MARCHE.
¶ De la musique avant toute chose… Et pour cela préfère le pair… Plus lourd et moins soluble dans l’air… Avec tout en lui qui pèse et qui pose.
Il faut surtout que tu n’ailles point… Choisir tes mots avec quelque méprise… Rien de moins cher que la chanson grise… Où l’imprécis au précis se joint.
¶ L’impressionniste redoutait le plan nu, le vide, le silence. Le silence n’est pas nécessairement un trou ; il faut employer le silence et non un bouche-trou de murmures.
¶ L’ombre noire. — Le silence noir. Pas le silence violet, succédané des ombres violettes.