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je crois qu’il m’échappa un cri de joie. Elle me conduisit à un escalier de plusieurs marches, un peu dégradé ; quand je l’eus descendu je fus arrêté par un amas d’eau assez considérable. En l’examinant je jugeai que ce devait être les restes d’une ancienne citerne, qui était encore remplie par les eaux qui filtraient à travers les ruines. Elle avait moins d’étendue que l’espèce de cave où elle était, et l’on pouvait en faire le tour. C’est ce que je fis ; j’arrivai bientôt à une autre porte qui communiquait à un souterrain très-vaste dont la voûte était assez élevée, et qui me parut plus sain que les deux pièces par où je venais de passer. Je le parcourus. Les