Page:Coiffier de Moret - Les enfans des Vosges, tome 1, 1808.pdf/198

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
(190)

Comme il faisait sombre, j’espérais cependant qu’il existait quelque sortie que l’obscurité m’empêchait d’apercevoir.

J’avais laissé ma lumière dans le caveau d’où je venais de sortir, je résolus de l’aller chercher, pour mieux reconnaître les lieux où j’étais. Je rentrai et ressortis de ce caveau avec un peu de peine mais sans accident. Je tâchai de parcourir la tour où je me trouvais (car ce n’était autre chose qu’une tour ruinée,) je tâchai, dis-je, de parcourir cette tour autant que les décombres, qui me disputaient le terrain, pouvaient me le permettre. Je ne remarquai rien de consolant ; il n’existait qu’une seule ouverture,