Page:Coiffier de Moret - Les enfans des Vosges, tome 1, 1808.pdf/222

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
(214)

Je lui demandai gravement son avis ; il me répondit très-gravement aussi, et comme s’il avait bien senti qu’il était devenu un homme important. Il faut d’abord, me répondit-il, que je sache comment tout cela est fait. Je lui montrai l’ouverture de l’égoût qui m’avait servi de chemin ; il s’y précipita, et bientôt je le perdis de vue ; il revint au bout de quelques minutes : le résultat de ses observations fut qu’il ne savait pas trop ce qu’il fallait faire, mais que je n’avais qu’à le lui dire, et qu’il travaillerait de tout son cœur.

Cet égoût me paraissait une entrée si désagréable et si incommode, que je cherchai si je ne