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Nous étions arrivés dans la tour, il faisait un beau froid ; le soleil paraissait, je jugeai à sa hauteur qu’il n’était pas tard, en conséquence je gardai encore Georges. Je fis avec lui un plan pour déblayer l’entrée du souterrain. Nous examinames avec soin la fenêtre par laquelle nous avions passé. Nous vimes avec plaisir que le lierre la masquait tellement, qu’il fallait faire une bien grande recherche pour se douter qu’elle existait. Georges remarqua qu’il pourrait facilement se servir de ce lierre pour monter et descendre, ce qui évitait de passer et repasser une échelle en dehors. Nous fumes longtems à bien calculer les précautions à