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en paroles, en fredonnements, en exigences amoureuses ; tendrement, il m’accuse de ne pas lui faire la cour, de pouvoir lire en sa présence, d’avoir trop fréquemment les yeux accrochés à un point dans l’espace… Hors de sa présence, je sens la gêne d’une situation anormale, illicite. L’ « état de mariage » n’est-il point fait pour moi ? Je devrais pourtant m’y habituer. Après tout, Renaud n’a que ce qu’il mérite. Il n’avait qu’à ne pas m’épouser…