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tenté des informations faites de loin, les partisans du Vampirisme s’appuieraient de ces preuves irrécusables, qui n’étaient que des rapports mensongers et des bruits populaires.
D. Calmet, qui était au moins de bonne foi dans sa théologie, et qui rapportait en même temps tout ce qu’il savait pour et contre les Vampires, parle d’une lettre qui lui fut écrite, le 3 février 1745, par le R. P. Sliwiski, visiteur de la province des Pères de la mission de Pologne. Ce sage prêtre avait eu le dessein d’écrire des mémoires sur les Vampires ; mais ses occupations l’en empêchèrent.
Il dit dans sa lettre qu’on doit retrouver dans les registres de la Sorbonne, de l’an 1700 à l’an 1710, deux résolutions qui défendent formelle-