agitée de madame d’Aiglemont établirent une confusion qu’il importe de faire disparaître. Il est dit à tort que, dans les premières années du règne de Louis-Philippe, le notaire Crottat commit une bévue en présence de madame d’Aiglemont et de Charles de Vandenesse. C’est, en réalité, à la fin de la Restauration qu’il faut reporter la date de cet événement.
Page 174. — Dans la biographie de la Florville, et d’après les renseignements tirés de la Comédie humaine, on peut lire que cette actrice, à la fin de 1821, jouait, en lever de rideau, dans un mélodrame intitulé Bertram. Or la pièce en question ne fut réellement représentée qu’un an plus tard, en 1822.
Page 257. — Omission du nom de Poiret jeune, parmi les clients du docteur Haudry.
Page 265. — Les Hulot d’Ervy qui figurent dans la Comédie humaine n’ont pas le moindre lien ni point de contact avec la famille Hulot qui compte aujourd’hui encore des représentants et dont le nom a été illustré par trois généraux Hulot, sous le premier Empire, la Restauration et le gouvernement de Juillet ; ils s’en distinguent, d’ailleurs, par le nom d’Ervy, emprunté à leur lieu de naissance.
Page 285. — Ce n’était pas hôtel de Saxe, mais bien hôtel de Mayence que descendait Polydore Milaud de la Baudraye, lorsqu’il allait traiter ses affaires à Paris.
Page 309. — Une erreur typographique laisse subsister, dans la biographie Lempereur, les mots « rue de la chaussée d’Antin », au lieu des mots « chaussée d’Antin ».
Page 317. — C’est à l’ambassade d’Autriche, et non pas chez madame d’Espard, que la comtesse de Listomère rencontre Maxime de Trailles et Eugène de Rastignac.