Page:Comédie humaine - Répertoire.djvu/586

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Page 319. — La biographie de Léon de Lora passe sous silence une révélation, sans doute imaginaire, de madame Nourrisson sur des relations intimes entre cet artiste et Antonia Chocardelle.

Page 386. — La biographie de F. de Nucingen ne mentionne pas l’achat par le baron d’un tableau de Joseph Bridau, vanté par Esther van Gobseck et payé dix mille francs.

Page 417. — Ursule Mirouet, ayant appris le prénom de M. de Portenduère, marquait, sur un almanach, le 19 octobre, date de la Saint-Savinien. — Ce détail a été négligé dans sa biographie.

Page 445. — Un balzacien émérite fait remarquer aux auteurs du Répertoire de la Comédie humaine que, sur un propos gouailleur et quelque peu ambigu de La Palférine, le fameux railleur à froid, ils ont pu interpréter, au détriment de madame Fabien du Ronceret (madame Schontz), une vengeance dont La Palférine était le véritable auteur. Ce serait donc lui qui aurait directement communiqué à la marquise de Rochefide la maladie qu’elle transmit ensuite à son mari et à Calyste du Guénic. — Dans les Petites Misères de la vie conjugale, qui forment une des Études analytiques, madame Fabien de Ronceret est citée, par exception, pour avoir été la maîtresse d’un certain Adolphe avant le mariage de cet Adolphe avec une femme du nom de Caroline. On y retrouve également, esquissées, et à peine reconnaissables, les physionomies de F. du Tillet et de mesdames Mahuchet et Schinner.

Page 454. — Saillard ne succéda point à Poiret aîné comme employé au Trésor.

Page 495. — J.-F. Tascheron restitue une notable partie, non pas de cent, mais bien de cent mille francs volés. — Il fut exécuté à Limoges, place de l’Aine (corruption du mot Arène).