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Page:Comoedia 2448 15 juin 1914.djvu/39

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dt, Cognac. FONDEE tt#171 5 ! "LE MASQUE" chezM. Mors UnDébut" $eê&*te enMacte,deM.Noïière. "LeChoc" pièceinéttiteentroisactes,deM.deanbrnao ; d’aprèsunenouvelledeM.W.-W.Jacobs. «Bitquelleferveur,avecquellesorte acteaJ’AndréNoranez,amateurdethéâ- ~s*162 qii on apprécielesplus or diesincéritéetunjeu,plein -sPec&J£ ?chaqueannéelesdeuxou %ec<~delasociréLe Masque. ré^iQnestivalequivientd’êtredonnée

le- QUI.
  • théâtre.par.t !ioulierdeM.Mors

Î^Hr :UUJletdessoieshabituelsdiel’aotfif-UnDébutet LeChoc. M. Nozîàreabrosséunta-N <|utoSUll1£n^,e<c® lestraitsplaisaotsetles kMau’s.Celaestd’ll !Iœaaûusanite obsar- IA-- C 4e d’ADdihrée, jeunepersonneacn

  • L d’intelligencerestreinte,qui,

d’^un, music-hall,abondi,poussée ,~o~Séreux,jusquelascènede i^ ?6oùindébutece soàr4à,passentsuc- "ie^"esfantochescorniqufis : P’rÇmierquienseignal’artdedire ï*t ?i itouàla débutante ; l’aimant, çvt"delamaisonM.d’alleret.venir h/* ;d’êterbousculéparleréw 01 P®11 banaa ;unbijoutier I" auteurs ;untroisièmeau.. dela tourne ; ledirecteur,enfin. Vjyv, remercierdieleurgentilles-AacThrée prometd’accorderou ^9 faveurs.aullendiemaindela w6rç-r^.,-^àtàon.Sibienquecettejour- ^ej*art chargée.Pendantquele et"hrbzgem-fflwfflwd’amèresrécedusortetsurlecaibo- T6’e eajtneenscène—nousappreybafouilledépilorablement èQdam lestroisrépliquesquiconapo-P’ ^féigèneint la débutantes’aposmieux mieux,etser&procnmt ¡ ;avoiræoommaaJdéunetelleita-S " ?*’1 uflânsqualepièceparterre ! ^ftp^blicaprisl’effarantbafouillage etcomiques.Andhréefutaoctar ~, -^ounmdte vivementla géniale ~b•«}ulée’ Lestrémoussementts et les V M0^’ l’justementcocassedela, -Andrâl,firent merveilledans

"1I.tt4®jjr^e,

autourdequigraviteune

,W&lPe’ composéede MM.Raoul

M" Gugli,Crumbs,Casquart, tt Gîiinez’Corneet Lucey,MilesFureafl ! Usdramatique.volontiersmême •a^Ue,estLeChoc,pièceinéditeen

l~rMrée delanouvelledeM.-W.Ja-Jean

Bernac.. ^1, réputé,chenapan,maîtrechan-Vea ^Ulte’narcotiqueà effetextnarapi- ^B«MXàeU’ Suérisonmiraculeuseet strainûtJ 1 rien,n’ymanque !Il estjuste Ktt.,t quet’intrigueesthabilement 1notreattentionjusqu’audéfinalfitnelaissepasqued’êtregrand- 5,5, ?^®.émouvante. "qlJ.i GastonBrouetM.AndiréNiOIUIi IT)L ;teoitd’être associésdansles Iltie~, ontjouéavecmtcIL-chaleur élt^3ontjouéavectantde chaleur desrôle®qu’ilsavaient Vi^«S fouillésavecconscience,que fté denepouvoirlesenten- %rTr^dirpluslongtemps, j’-fcjyohiaifflitéfait^diaiieuTS, k^^ifendaif,tcts~tdàqpçettrès VÎyV’JOut, ’<Ïepu :is""e-’carin& :qdi sonne’ eçua= lampes,vases-et-bibelots decuivrequiygarnissentlesjneuHe%étaient fortjoliment«couileurlocale». X2’étaità désirervivredanscetteauberge dielaCléd’or,quitteàvoir,commelepatron (PhOtOBtofl.) (î-lagcfe«AsdetTrèOe»}. M.PRAXI MlleANDRAL Veyden,surgirunanciencampasnon.desjouis depiraterieetmenacerdedévoileràtous.que, sousvotre,nomd’emprunt,secacheumforban repenti,dontla têteestmiseà prix.Ilest vraiqu’aprèsavoir.laisséle maîtrechanteur bouleverser -l’auberge,y introduirechenapans etfilles,renvoyerlesservantesfidèlesettâcher à mettreà malvotreenfantde seizeans, vousn’auriezqu’àfeindreuncoupdesang, oubienà vousenguérirhâtivement(jene saistrop),et, enfin,sûrdel’impunité,puisqu’onvouscroit-àla mort,étranglerlemisérableet renaîtrevous-mêmedansvotrehonnêtetéetvotreconsidération pointattaqués. C’estcequenouscontèrentavecpittoresque etvéhémence,à la suitedesdeuxprincipaux acteursdéjànommés.MM.Trêves,Baldoui, Goffert,Luceyet Bourdel,MmesR.Farnèze, MagdBayart,Y.Laffon,deCondéetHo-uzlbane. PIERRELEVASSOR. CONSERVATION et,BLANCHEUR desDENTS MîiiiM Boite2/60franco-Pharmaolo.ia£d.Bonuae-HonveUaJ,ari» POUR MAIGRIR RAPIDEMENT ET SANS DANGER ÎN prenez tous les deux jours ur*. bain auSB ISELAMAIGRISSANT CLARKSf Mquiréussittoujoursàréduireleventreet leshanchesetà fairefondreet ÊB Ë disparaîtresansaucuninconvénienttoutexcèsd’embonpoint. ÊSf §LaBOITE-DOSEpourunBain : 1fr.(Franco :1fr.60). È$£ Mm- Les12BOITES : 10fr.franco.(Envoidiacret). ÊÊ3 ENVENTE DANSTOUTES USPHARMACIES et108BONSÉTABLISSEMENTS d.BAINSetch., ÊÊ £_OI^Ag3g8^_ :96bis.RueVivienne,PARIS.- TéléTJh. 323-65(NOTICE FRANCO !. ÊÊÊ DÉPARTEMENTSeÉTRANGER AIGUËS-MORTES (Gard)i*—Lakmé.- Excellentereprésentation. MileMartheGaetiilea personnifiéavecbeaucoup de goûtlafillede NHakanta,savoixfraîcheet bientimbréefut trèsapplaudie-, etparticulièrement dansl’airdes CJoche,vtes’. et dianscelui,delaCabane. Sonpartenaire,M.RogerdeCourcellesa chanteavecsentimentlerâledeGétald.MM., Parayre(Nilaloanta), et Escals(Fré15lric),ont contribuéaugrandsuccèsde la soirée.Les chœurssontsatisfaisants. L.A. ,i i.—i«.n—, Voulez-vous gagner une superbe AUTO ? PRENEZPARTAU GRANDCONCOURS dela CARTEPOSTALEUNIVERSELLE QUIPARAITRA dansCOMŒDIA lemardiet lévendredi 2.500 PRIX CHOISY-LÈ-ROI.— La sociétéL’Avant- ,Ga<rde., deChoisy-le-Ro’i, organisepourlafête deQhoisy-le-Roi, liedimanche30août1914,un grandconcou-s-festival defanfaresdietrompettes, detrompesdechasseet detambourset clairons,sousla présidenced’honneur,deM : Rondu,maire,deMM.le conseillersmunicipaux, deMiM.lessénateurset députésdelia circonscription. Raymond PONTET1 .,. PerruquesdeThéâtre— Facilitésde paiement S.FAUBOURG MONTMARTRI Téléphone 181.77 GAILLAC.—Concoursdemusique.—La villedeGaiEaç-sur-Tarn organisepourles27, ,28et 29courantungrandconcoursmusicaL internationaloùà l’heureactuelleplusde70 sociétéssoin’tinéerdites.A&¡d’enrehausser l’éclat.M.GustaveCharpentier,del’Institut, a MenvaduenaccepterladirectionetviendraLui-mêmedirigeren, personne,avecles meilleuresartistesduConservatoire MitmiPinson. ,auThétredeVerdiureduParcdelaville, LeCouronnement delaMuse. iBobés d’occasion

  • i <Garde-Rot^9,.- ;:•

MARYA. i40, rueDesrenaudes(Ternes),. ~, SAINT-BRIEUC. —Devantunenombreuse assistancea enlieujeudisoiiirdansLessalions del’HôteldeVillelegrandgjalaartistiqueor-’ganiséparM. LéonGrétry,violonsolodes Con.’certsColonne,assistédeqruieitqiues artistes. Cefutuinvéritablerégalet lesamateursde bonnemusiquesontsortisenchantésdecette soirée,n’ayantpasménagéteiursapplaudissementsauxinterprétas. Detelîesadditionssont malheureusement raresdamsnotreville. La sixième^(positiondel’Unionartistique desCôtes-dlu-Nbrd doitavoirlieuaufoyerdu Théâtredenotrevilledu21imnau16juillet. Et Votre tête A.. AMERICAN TERROL PÉTROLEINODORE l’embelliraenrendantlavieauxcheveux ! 3firancsleFlacon,avécgarantie. AuPrintemps—GaleriesLafayette—BonMarché TroisQuartiers—Samaritaine —AlaPlaceClichy GrandsMagasinsRéunis- GaleriesSt-Martin,etc ECHANTILLONS GRATISETFRANCO EcrireTERROL, 2,rueBuffault,Paris(IX5) PALAVAS-LES-FLOTS. —CasinoGranier. Notretrouped’opérettes’esttailléencoreun succèsavecLeGrandMogot.MlledePortesa étévraimentparfaiteen Irma.MilleBoyera jouéle rôfcde BeneaMaie avecla discrétion quiconvenait.M.Brunais,en Jocqàuelet,fut excellent,demêmequeM.Faprenprince Mignapour.Quandà M.Leroux,31a faitm Nikobargrotosqiue à souhait. Les28JoursdeClairette.—Curettec’était MinedePortes ;donton,goûtalavervesémillanteet leioyeuocentrain.Ellea coe-uitla pièceavecunevictoriieruse maestria.On l’a beaucoupapplaudie,ainsiquesescamarades. 1FiLlrtË VPASTEURISATEUR MALLIE I ISS,HueduFaubourgPoissonniers. PARIS Metdanslesbonnesmaisonsd’articlesdeménage VITTEL.—Pourl’ouverturedela saison théâtraledieViitteli :MonsieurleDirecteur,la charmantecomédied’Aiexamdlre Bisaonet FabriceGaJnré, a été’l'occasion’d'utogrossaiecès pourlesexcellentsartistesdelaitroupedecomédiediuiCasinodeVillttel. En1païtiouilierMmes RosinaMaure1, MargueritePeuiget,Fergaudy, MM.G.Séveniia,L.Maurelet Cousinont été trèsbrillantsettrèsapplaudis. Le ;directeurdu ;théâtre,M.Budlier,a été rappeiléà Parisbrusquement,sa mère,Mme Butlier,étantdécédéeà lasuited’unelongue maladieietlesobsèquesayanteulieuhier.Nous adressonsàM.Bulliernosbiensiincèrescondoléances. D. LESPLUSBEAUXCHIENS sevendentunmoisà l’essai AuGrandChenildesArdennes à Montcy-Saint-Pierre (Ardennes) Berbèreallemands.Grœnendaels. bouviers,etc.,dressésounon.-Saint-Bernard, lévriers,loulous imins,griffonsbruxellois,etc.— ChiensdeChasse,toutesraces, jeunesetbiendressés. La Journée à Bruxelles SpectaclesduLundi15ïuin1914 OLYMPIA, 8h.t. —LePapaduRégiment. ALHAMBRA, 8 h. t. - LesApachesdu GrandMonde. GAITE,8h.t. - Loute. FOLIES-BERGERE, 8 h. t. - LesPiottes du69°. SCALA,8h. t. - LesViergesduTrottoir. PALAISD’ETE.8h.t. —Music-hall. THEATREMUSIC-HALL DELUNA-PARK. 8h.t. - Spectaclevarié. PLUSDECHEVEUXGRIS EXCELSIOR .j® Coiffeurs,Parfumeurs~r~ V-CRUCQ FilsAîné,S*,25,R.Ber0ère^Parls^y^m|^j^ MONTREAL. —AuxNouveautés,ladirecrienpasseauxmainsdiusympathiqueMarcel Fleury. AuCanadien,«LaSœurduMort» a servi de pièced’adieuauxexcellentsartistesque sontMmeBriantet M.Ghanot. MARIAGES pourtoutessituations.MmeJoubert, 55,ruedesPetites-Ecuries. Tél.Bergère44-41. SOCIÉTE GÉNÉRALE pourfavoriserledéveloppement duCommerce etdel’IndustrieenFrance. SOCIETE ANONYME. —CAPITAL

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SIEGESOCIAL : 54et36,ruedeProvence. Dépôtsdefondsà intérêtseVcompteonà échéancefixe.— OrdresdeBourseiFranceet Etranger) ;—Souscriptions sansfraisj —Venteaux Guiehetsdevaleurslivréesimmédiatement (Obi deCh.defer,ObietBonsàlots.etc) ;—Escompte et Encaissement d’effetsdecommerceet decouponsFrançaisetEtrangers ; —Miseenresteet Cardedetitres ;—Avancessurtitres ;—Garantie contreleremboursement aupairet lesrisques denon.vérification destirages ;—Virementset ChèquessurlaFranceetl’Etranger ;—Lettreset Billetsdecréditcirculaires ;—Changedemonnaiesétrangères ; - Assurances (Vie,lnoondie.Accidents, etc.).SERVICE DECOFFRES-FORTS (Compartim. depuis6fr.parmois ;tarifdécrOIS. santenpropor.deladuréeetdeladimension). 105succursales, agenpesi4bureauxà Pariset dansLabaniLLe-tue ; 1027agencesen Province

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MM.dubistouriet

delaseringue,ensont-ilsencoreà perderun abcès !C’estquel’école,comme’mel’avoue unjeunedocteur,estunenvoûtement.l’éteignoirdel’intellect !

Pourquoia-t-onlaisséKirchhoffersouffriret pourrirpendantdix-huitmois,de.sagangrène ? —Sonchirurgiensecontentantdeie « raccourcircommeil eûtfaitd’unjambonneau !» (Matin),sousl’œHIdunaïf,simplisteet(impuissanthoméopathe

? —Pourquoi-unéJœtJrkJled 

spécialistenes’est-ilpasprésenté ? Pourquoi,moiseuilaumonde,ai-jepuaffirmerà cemalheureuxqu’ils :eguériraiten.employant, coimmeje leluimontrais,l’appareil dontjeMfaisaishommage.PO’UJr !Q.uoi ? ParcequeMM.del’Ecole,parcheminés dela Faculté,vousnesaviezpascequevousfaites ! Lehasardvousconduitet lebluffvousexalte, alorsquejemerepose,moi,simplementsur unprincipeetunethéorieimmuables,quej’explique, monmtterventMn), quej’enexposeles pèntp&ties, quej’éiiablisun"pronosticsansjamais metromper !.Jenepuismetromper !! Enunmot,jesaisceQuejefais ! CHARDINQ O.I. 5,ruedeChâteaudun,Paris. LecasdieM.Dekasséprouvédoncquela santégénéraleestébranlée ;l’affectionrécidivera decefaitet lesmaîtresnepeuventrienpour l’enempêcher.Tandisquemoncourantélimineraittoutgermemorbide, feraitplacenette etrétabliraitenmêmetempslasantégéniéraie. Mais,aîlfëzdoncfairecomprendreunechose sisimpleà cesencroûtésdelaFaculté ! Alors quele professeurCharlesHenry,dela Sorbonne, larésumaitsanslaconnaîtreparlaformule :

«Lapathologiedépendde laperturbation 

dela circjuiktion». Sijamaiscemiracles’opérait,nousverrions alorsunechairescientifiquese substituerav râtelierdelaFaculté OCCASIONSGARANTIES RENAULT,14HP1912,land,lim.gdluxe. RENAULT,20HP1911,Torpédo. RENAULT,20HP,Sport,2 baquetsSpider. DEL-BELLEVILLE, 15HP6 CJYIl.limousine. RENAULT, 20 HP,Lunous.Laiboardette. AUTO-PALACE77bis,Aven.Grande-Armée, r/il-nuc Téléphone : 655-28 11,In..LITORNEquilit desyeux défendre savertu. MONROSE

Trèsbien. MALITQRNE,lesyeuxbaissés a*"siew,sisonimpertinence e, q’u'ona. , MONROSE - Maisoud.,quelqueinnocence

    • fi. MALITORNE,

mêmeleu. ’ :trah~1e^ssi, qu’ens’enlaissantconter trnfquelqu’un ;qui’onmetsavaniité -"tJchiffonnersonbonnet. V, MONROSE

  • n*+

Madame, ~’<~~R~~Si1œtq-ulunmarquisetsaflamme, ^lUentroUItexpireet s’éteint., OSMe estmorte,adieuj-usqu’aiumatin ! , ~e1qitsemblantdes’enaller.)

?-îç^Litorne,fournanflapage. 

quiparteclair.sasignature Ire dutout.HLisibLe ! MONROSE, revenant. Rature. laP^mea laisséchoirici. Ilu^«îï^^wait pçut-êtreenécrivantceci. ie MALITORNE 5®VRM^voir ? , :,’ MONROSE ~h’ MarquisdeCerisoles : vn sonnant,etpasmaidepistoles. iWienfleurisdeLoire. ;. MALITORNE , .Jelesvois ! a ; monenfance ;desmois ~.,bdlt desjoutscommedel’eauquichante. SouIv-eIti r MONROSE del’A Ouevousêtesméchante !

!~ 1’^»i’Q'Uvousledédaignerez. 

- euJr, etvousnel’aimerez ? MALITORNE -•IL. «^OE®» agersoncœurà lalégère. ’ :.h..Sn1. MONROSE ’{¡,"tJ&,~- ,1~b fitl,u, Prln,ceépouse4abergère. (,

  • ?irttroman-,chezletabellion

nl’Ddeavec legalion. V’^ QiueenroUesamoursdépensée : Sfyjietit"emvouss’envolâtsapenséeI C<w/0urslalettreet lafroisseunpeu. tz C lettre.MONROSE Hé,cettelettre ? U1 MALITORNE

!~.< :’11 

Estbien J’otT®a.Va-m mentdissertersurun,rien, •sV’w^S^rSn^Yeux,mescheveuxetmabouche aZj. pOurqu’unelettretouche,

tt anttout, craintl’ambiguité.

t S fJost~St ;MONROSE l’CHektor (d)-j.~f 4epuis,sansvanité, lnraisondumodèle, 1L sansmecroireinfidèle. Ittal i !"~nn.MALITORNB Y .¡¡ ! IWONROSE ,v’<sirV.to,Ï>’^swKkmaubasdu’feuillet. ,(VBSN rêveestenvolé.

?main quis’effare 

./it-,. "’-1.’011 VV’une épkhèterare 1Jî*là.r/8, ipiûaiTréparersontort. lout doucementl’onsort.

  • •( ç».dascrè»efumée.

k f)VV^x-tu ? Voulez-vous êtreaimée ?

! R1Ie MALIT°RNE 

<mi^~RNE MONROSE f Ilfautvousdépêcher v ’Qn MALITORNE &NQnttout, vousallezlechercher ? I. "’oura~n~MONROSE ,V et€srvàu ;Uj,t’o'uscueililir.lem’esqtmve. <, trt.,~o1 :A’L lirVÏJ Mu®jJ*LlTORNE Abi«n°^equevîve ! ~ !i{¡~OsE Onro&e,j’aigrandpeur. lleIl OsE’0^0unsourire. e" Certaimdroitdu seigneur. $e^uVe amohe.y IIUiJlijphe.). ~-,- -, SCÈNEX DUFRESNY, MONROSE DUFRESNY Nuitnoire.Pasunchatsur laroute.Lalune Absente,et lemarquis,évaporé.., MONROSE Fortune Donttuvasprofiter,si tu m’encrois.Ouïs Cequejevaisconteràtes yeuxéblouis. LaDuchesnois,là-haut,seule.’L'hôtellerie Désertecommeil siedipourridylle’fleurie. Et,danstesbrasbientôt,moncher, tulavainquis, iBéréniceou Mérope,oulesdeux ! DUFRESNY Lemarquis ? MONROSE Lemarquisestbienloin.Cecoche,unstratagème

! 

’Hestraccommodé depuislongtemps. DUFRESNY Jel’aime. MaisMaMtowie !. MONROSE Enifant,monte !Tu peuxl’aimer CommelafoLLeabeilleaimelaroseenmai. Etquittercesouiciq,uinoirciraittonrêve : , CetteHermione-làMonrosetel’enlève. DUFRESNY ’Mais. , MONROSE, Va-t-en ! DUFRESNY Jecrainsfort. MONROSE Ouecraindre ? DUFRESNY ,. Rienettout. J’hésite ;jesuisivre,a.œnsmonfrontoui bout. Sil’onnkerepoussait !MONROSE , Neprendspastonairnice. TuvasaiimercesoirlareineBé’réMce.. (Illepoussedansl’escalier.Dufresnymonte,ébloui.) SCÈNExr MALITORNE, MONROSE MONROSE, faitsemblantd’allerécouter,au fond,un bruitimaginairedevoiture. Cettevoiture.Unmytlhe,unprétexte ! MALITORNE, rentre,ellea misunvoilesursonvisage. Moncœiur, Ilmesemblequ’ilsauteetse’rompt. MONROSE, àpart Carlafleur Qu’auxétoilesL’oncueille. (L’apercevant.) Ilfaitvraimenttropsombre Pourgagnerceearosse.Ontrébuchedansl’ombre. Prenezmonbras.MALITORNE, minaudant. Jetremble,etje n’oseavancer. Etmedis :«’1efaismal.,etquevant-ilpenser Demoi ?M ,MONROSELibérez-vousdecesenuipudeexitrême. Il vapenserdevous. (Illaprend,l’enveloppe,etlafait sortirdeforce,à iemi-pâmee.)Morbleu,queje vousaime ! SCÈNEXII DUCHESNOIS, DUFRESNY’• DUCHESNOIS, portelevoileetlemanteau.Qu’elledépose surle fauteuilnégligemment, commepourattendre le coche. Ilestparti.Cen’iestpasbien.Vousêtes sûr ? DUFRESNY Parlachaise,sansvous.Cecin’ariend’obscur DUCHESNOIS Ah ! monsieurle marquis ! Maisd’attendre,çacreuse. IlvautbienmieuxcéansfaireunTéniersqu’unGreuze Etquoiqiuiel’élégaoceaità souffrir,sans*olue Atable !. ;.Ledînera J (i4part.) Marquis,tulevoulus ! I-. DUFRESNY Jevousserviraidonc.DUCHESNOIS Maisquel’onsubtilise Mailiitorne. c’esttrop.PasseencordameUse ! Quelquecoquetteayantduventdanssonbonnet. ; j.-Levent, c’estdangesreiuix

!DUFRESNY 

J’en suisfortétonné. DUCHESNOIS, avisantsurlatableunechandellenon allumée Ceflambeaus’estéteint.Allumezdonccecierge. (Ellel’allumeelle-mêmeaucandélabrevOisin.) Quelquemagiciena vidévotreauberge, OuMalitornedort,..DUCHESNOIS Quelleheure ? DUFRESNY tlestminuit. DUCHESNOIS, ritet applauditàla tableilluminée. -Unsouperauxflambeaux.ToutbriMe.Plusdenuit. Laflammedescristauxétincelleet rougeoie. Actecinq,scènedix.La pièceestàla joie. DUFRESNV tâtela soupière,qu’ilremporte Jecrainsfortqu’undésastrealiltchusurtouslesplats. Toutserafroid. -DUCHESNOIS, quis’estassisedevantla table Mon’coeurestchaud.Maisleshélas Nelesréchauffe-aient. Souijpons Q ?nèpliscttendre.* Tudis :premierservice,unepoularde.Tendre ? DUFRESNY, dela cuisine. Elileestunpeuroussie.Etcuite,j’enaipeur, Tropsurabondamment. L (Illasert.) -- DUCHESNOIS

  • Maisfineestsavapeur,

DUFRESNY EllearriveduMans,madame,endroite’ime. DUCHESNOIS CommeduBordelaisvientlevia.de tavigne. TusaisbitTel’article,DUFRESNY Etjemepiqueaujeu. DUCHESNOIS Cettepoularde-làsouffritdetropdefeu ; Cardielaflammeardenteelle futtropaimée. Etdubaiserbrutala gardeLafumée. DUFRESNY Maisdesfemmes.combienpeuventendireautant ? DUCHESNOIS Quigardentdel’amourceSottivemrchantantl DUFRESNY J’ensaisune,pareilleà certainepoularde. —Maisurneseulement—-quidegrâcessebarde ; Et,prèsd’êtremangée,elle exhaleenmourant Decetexcèsd’amourunparfumtransparent. i DUCHESNOIS Leparallèleestbien.risqué. DUFRESNY ,, Soit.tnaastrèsjuste. DUCHESNOIS Maislemotà la femmeavecpeines’ajuste. DUFRESNY

Quenonpas.Quellechairestplustendreà manger ? DUCHESNOIS DuMarivauxtoutpur DUPRESNY OuduiRegnardléger, DUCHESNOIS Tuconnaistesauteurs.DUFRESNY -Mai ®oui.rubissurl’ongle.-DUCHESNOIS GavaIDer.tonespritavecdiel’espritjongle. Ettun’espaséipais.’avantmoinsd’appétit Quecertainqueie sais. (Luioffrantdelapoularde.) Uneaile,monpetit.

- DUFRESNY

J’aimebienmieuxledoigtquimel’offre,et lebaise. DUCHESNOIS Fi.c’esttroptôt.Toutdoux ! (Frenantunairirrité.) Reculezvotrechaise. DUFRESNY Ecoutiez-moi. Jesuiscommeuntrèsvieilami Quinevousaimepasseulementà terni. Jevousaimedeloin.,depuislongtemps.Mon-âme Uncertainsoirdejuin,a découvert’a femme. Depuis,jesuisunhomme,ayamtconnuceciel Oùmonsoleilestnésousles doigtsd’Ariel. Ici,je suisvenuparnécessitépure : J’avaistougouirsaucoeur,madame,uneblessure DUCHESNOIS Miadsvousnemangezpas.DUFRESNY Madame,je D’adfaim Quedevous. v ; ..,, DUCHESNOIS Ledessertsegrignoteàlafin. Vousêteséloquent ;maisjesaisquevousfaites Desvers ? DUFRESNY Oui. DUCHESNOIS Monétoile !Onveut fuirlespoètes. J’enretrouveunici. (Réfléchissanf.)Maisquiparledemoi1, Quandd’aiâres,à Paris,ne parlentquedesoi. C’esttrèsparticulier.DUFRESNY-Jenesaissilerêve, Etsicetteheure-cilasuivantel’enlève. Jevousai là,toutprès.Jetouchelemanteau DeBérénice. DUCHESNOIS Iln’estqu’unerobe :toutbeau !.-Maisvousmourezdefaim. Orcetteaile,elleexiste. Mamgeznla donc.Et(puis,nesoyezpassi triste. DUFRESNY Vousnepensezqu’àmanger. DUCHESNOIS Mondher.l’onsedk TaritM«S ! DUFRESNY Al’amour,vousnefaitescrédit. Etvousraillezlepauvreingénu,sisincère. DUCHESNOIS, touchéeparlemot. Sincère,vous ? DUPRESNY Autantqu’onpeutl’être. DUCHESNOIS - J’espère Quevousallezmele prouverbientôt. DUFRESNYComment ? DUCHESNOIS MonDieu,jenesaispas,commefaitunamant. DUFRESNY Jesuiscetamant-làquivoitenvouslareine, Rienquelareineenvous,si douceet souveraine ; Etqui,mieuxqueTitus,saitquelesceiptred’or Quifleurâtdansvosmains,vousleportezencorI DUCHESNOIS Alorsvousmevoyezà traversBérécioe ? DUFRESNY Carlafemme,ômervedile,estpareilleà l’actrice ! Cetairquevousprenezà lascène.ilvoussuai. Quandpourd’autresparaîtreau.soleil,celanuit Ala.grandeufrtragiqueet blanchede leurgeste. Maistelle,je vousvis,jevousvoistelle ! DUCHESNOISPeste ! Jesoupeicibienmieuxqu’onnesoupeà Paris, Carvoussavezpanier,DUFRESNY Vousmel’avezappris, Jesuisnichedietantdeparoles,de -phrases Qui,soufréesdel’amour,survotrebouchejasent ; Et cesTnOt_ $ pourTitusmurmurésvainement. S’adressaientà moiseuL.et jefusvotreamant. DUCHESNOIS, depuisunmoment,songe.accoudée à latable. Cesmotsquejedisaisà Titus,vousleseûtes ? DUFRESNY Cesmotsquin’ensontpas,maisqu’ainsivousvoulûtes DiNinemem subtils,.pourqu’ilsvolenirplusdroit, Quandvous-visezTitus,unautrelesreçoit : Etd’êtremurmurésilsnevontqueplusvite. Ladouleurdansmoncoeurvousme’l'avezécrite. Je vousaimedepuis. DUCHESNOIS, debout,lesmainsPOSéessurlefront deDutresny. Quand,aufeudiesquinquets, Jesèmedemon’coeur.jereçoisdesbouquets. Maispourmoilameilleureetla plusnobleoffrande C’est,surunvasepur. votreamourenguirlande, Etsoncandidelierreaufeuillagesi doux. Jen’aimepasTitusquifutàmesgenoux. Etd’êtresimplementliafemmejem’honore. PasBéréniceniMéropel, DUPRESNY Encore ! encore ! DUCHESNOIS Maisdoucement,laissantle rêvemesaisir, Jeveuxqfuesoneawolafcbeignemondésir ! Jem’abandonne à’Inri.lesyeuxclosetpâmée. Etqu’importedequijesuisalorsaiméej JenlaiimeplusTitus,maisl’amour,maislejour ; C’estTitusqueje nommeet je cherchel’amour. MaisquemefaitT.itus !Uneâme.danslasalle. Demajeunebeautébrûled’êtrevassale. Je lesais,je lesens,je l’estpèreet le vois ; Alorsl’iU !Illique amourpalpitedansmavoix. Etcesoirbleudejuin,l’âme,c’étaitlavôtre Quifutl’écranfidèleentremaboucheetl’autret DUFRESNY, extasié,allantà elle. Vouen’aimezpasTitus ? - DUCHESNOIS Jeledéteste ; a est Trèsinintelligent,etIdieplus,il estlaid. DUFRESNY Alorscesyeuxqui,mefixaientsansmeconnaître, CesyeuxdeBéréniceallaientchercherleurmaître ? T DUCHESNOIS Maispuisqu’ilsl’onttrouvé,ilsnepleurerontplnss< DUFRESNY DansLeurtroublemiroir,cetamourjelelus. DUCHESNOIS Pourl’empereurTitusilsfeignaientlasouffrance. DUFRESNY Etcetamour,cesoir,vitdamsleurtransparence. (Illesfermed’unbaiser.) DUCHESNOIS Jesensmonâ.mefondreainsiqu’unfruittropcbûiv DUFRESNY Je suislemaraudeur,à chevalsurlemur, Quivoleauvergerd’ordes’yeuxd’impératrice. DUCHESNOIS MaisvouscroyezcueiMirlesyeuxdeBérénice. DUFRESNY Monrêveestaofoevé :cesyeuximpériaux Onitdefauveslueursdansleurshautaineseaux. DUCHESNOIS Orlepoèteveuf,selonsafantaisie, Mariercesbijouxavecsapoésie. DUFRESNY u vectayantgoûtéleurdivinedouceur.(---S’endormirsurcesyeuxquisontdouxà sonPJ :sUC : Pourquesonâmeencorsoitplussœurdelasienne Ettpourquesonamourà sonrêveappartienne. DUCHESNOIS Enrêveseulement ? DUFRESNY Hn’oseespérerplus. DUCHESNOIS Maissi jedonnaisplus. (Apart) Marquis,tulevoulus ! (Bruitducochequiarrive.) SCÈNEXIII LESMÊMES.LBPOSTILLON LEPOSTILLON, Criedufondsansparaître, LecochepoufParis, DUCHESNOIS, s’arrachanfdesbrasdeDutrestlfi Lecoche !.Ilsetermine Monbeaurêve ! DUFRESNY Unrayondeluned’illumine. DUCHESNOIS. reprendle manteauet levoilé. TimuspowrBéréniceeutdessoupirsmoinsdoux. L’heurepasseet jedoismeséparerdevous. VOIXDUPOSTILLON Letempspressa. DUFRESNY Partir !Maisseî>eut-ôllqo’aaparte ? Cedlénoûmenit, pourmoi.DUCHESNOIS C’estlaflèdheduParthe. - Aih ! contaens-toi,Mérope,à t’heurcdudevoir ! «•*. CommeautrefoisTitus,quineputlarevoir, Va,tumTaianeras mieqg,nem’ayantpasaimée. DUFRESNY Monrêve,etsesfilsbleus,sebrouille. DUCHESNOISC’estfamée Quavadanslessoucisdumondeseperdant. Relègue,aumagasin,d’oubli,l’amourardent EtlessoupirsdeBéréniceou deChiianène. Jai)bienjouémonrôleensœurdeMedfpccaèfle^ DUFRESNY Vois.1amourq.uiveutvivre,encorenouveau-né,, Dévoreracecœurquevousabandonnez

! 

DUCHESNOIS MafislevoldePégaseenlèveencroupeEurope. DUFRESNY, affolé, tendantlesmainsversBérénice* Pourquoipartirdanslanuit,seule ? DUCHESNOIS PourMérope RIDEAU