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ACADÉMIE DES SCIENCES.

Ceci permet d’écrire (u) quand on connaît le développement taylorien de @ et montre que la série des K est majorante pour celle des A.

Parmi les développements qu’on peut ainsi former effectivement, je citerai le suivant. Le symbole J’x 1 (m) étant lié à la fonction de Bessel par

J x(") = r ( + i) J x’(» ; 1» fonction

est harmonique ; de plus

©(£„..., ^, o, ..., o) = e «^ + -+«A ; d’où

Ce développement met en évidence plusieurs propriétés des U, notamment leur expression générale / !-..l/lp

— — <±£i — -r, r...^, +... +(- I)4 AV(^-^ +...i>

qui est à rapprocher de celle qu’on obtient pour les V, en généralisant des théorèmes de Glebsch (’) et de Hobson (2) :

—Vis) — «a - / I -. ;«. ™)k» t ■• i / t ; i — à E—L.

  • m 1...m v — - -^.

"r

où A 2y F est le symbole de Lamé -’=[Ù), —fé)’] De (V) on déduit encore : l’expression des U par des intégrales définies analogues à celles de Laplace et de Jacobi ; certaines relations curieuses, en faisant <x.-+-... ■+- a.^ = o, etc.

(’) A.. Clebsch, /. reine angeiv. Math. (Crelle), t. LX, p. 343. (2) E.-W. Hobson, Proa. London Math. Soc, t. XXIV, p. 55.