des rares espèces communes à l’Océan et à la Méditerranée ; ceci est d’autant plus remarquable qu’elle ne peut flotter.
Le Cyst. barbata J. Ag. est franchement méditerranéen Je l’ai cependant trouvé dan la" baie de Cadix, rejeté, il est vrai, mais associé- à des plantes viv.nl dan le mTmes conditions et permettanr d’affirmer qu’il y croît. Il a donc traverse le det o pour entrer dans l’Océan, comme les Cyst. discors et Cyst. ^tan^oha^ flottent nussi facilement et néanmoins son t pareillement inconnus au nord de Cadix
Le Cyst ericoides est connu dans l’Océan, de l’Angleterre jusqu en MaunUni J’ai moLé sa présence en Algérie où il paraissait isolé dans la ^Méditerranée O., e trouve dan. tout le détroit et vit en exemplaires remarquablement beaux dans la ba ie désiras ; il abonde aussi à Malaga. Je n’ai pas observé le Cyst.medUerranea S v si ab ond a’nt à Banvu.s. Je n’ai pas vu non plus le Cyst..trtcia auv sur côte d’Espagne ni dans le détroit proprement d.t, mars seulement au cap Très Forçai pi MeliUa ; de là il se répand sur la côte algérienne. En devenant méditerfanle ’.Cyst. eicoides a donc conservé ses caractères dans le détroit et dans les r lo ^ peu ’éloignées, tandis que, plus loin, il a évolué en Cyst. sine a et Cyst. ZtditerLea, et’p.us loin encore, sur les côtes de Grèce, "pU.MenUga.
Le Cvst. granulata. espèce tophuleuse et vés lC uhfere, habite 1 Océan de 1 Angle tenea^lfe de Gascogne Le Cyst. selaginoides, ni tophuleux, m vesiculifere, vit „ diï rents points de la Méditerranée, et j’en ai décrit une variété polyœdemaUs Pourvue de tophules soudées à l’axe, ce qui n’existe chez aucun autre représentant du
!e Or à Tanger, A.gésiras et Ceuta, j’ai vu en abondance, au niveau mfeneur.
c’ek d Cyst. erœoides] une plante que je nommerai var g.bralianca, «uni de ^ phules bien caractérisés et parfois d’aérocystes ; elle semble bien mtermed.axre t et Cvst. granulata. Il paraît même vraisemblable qu’elle représente la forme 2 laquelle a passé le Cyst. granulata, en pénétrant dans le détroit pour envahir la Méditerranée et s’y transformer en Cyst. selaguioides.
Bien que j’aie particulièrement cherché les deux curieuses espèces méditerranéennes Cysl. spinosa et Cyst. sedoides, je n’ai pas réussi a les rencontrer.
physiologie. — Expériences faites au mont Blanc, en i 9 13, sur l ’activité musculaire spontanée aux très hautes altitudes. Note de MM..I. Vau.ot et Raoul Baveux, présentée par M. Roux.
On sait que les très hautes altitudes diminuent la puissance musculaire : la faiio-ue des ascensionnistes prend toujours un caractère aigu a partir de ’,000 m, et elle s’accompagne de troubles respiratoires progressifs en même temps que les efforts musculaires deviennent de plus en plus pénibles.
