pour t > T > i ’, par exemple le signe positif. Alors on a, par un théorème connu,
" dt=-ç^-COS^.
4 +4 ’
(5)
où K est indépendant de p. Mais cela est impossible. Il y a en effet, d’après notre hypothèse, un nombre S positif tel que S(2*)>S, pour 2T<£<2T-t- i. Donc
' >/ >ÔK 1 (2 T)’-p,
où K u comme K, est positif et ne dépend nullement de p. Enfin, des inégalités (5) et (6) je tire
donc, pour/ ? assez grand, une contradiction.
CHRONOMÉTRIE. — Sur les courbes terminales des spiraux ; influence des termes du second ordre. Note (’) de M, IH. Mouwsr, présentée par M. G. Bigourdan.
I. Dans une Note du 8 septembre 1913, j’ai indiqué que les courbes terminales des spiraux doivent satisfaire non seulement à la condition de Phillips, mais aussi à une deuxième condition annulant les termes du second ordre
Jsecds = R*l et / syds=R 3,
Jq ’
La condition de Phillips assigne une position déterminée au centre de gravité de la courbe. Je me propose de montrer que la seconde condition assigne également une position déterminée à un centre de gravité.
(*) Présentée dans la séance du 3o mars 1914.