on doit donner des forces à la jeunesse. Elle en aura si grand besoin. Ne faites pas des mous, des viveurs, des égoïstes de ceux que Dieu vous a confiés. Doucement mais fermement, il faut plier l’enfant au devoir : il faut lui faire remarquer ses défauts, lui inspirer le désir de se travailler, de se maîtriser, de se renoncer. Rien n’est plus nécessaire. C’est la vraie culture d’énergie.
Les années s’envolent rapides. L’enfant frêle et charmant sera bientôt un homme. Contre lui-même il devra lutter jusqu’à la mort. Ô femme, si ton fils ne sait pas se combattre et se vaincre, tu n’as pas su l’aimer !
ous avons tous nos devoirs, nos responsabilités. Jeunes filles, qui croyez n’avoir rien à faire qu’à plaire, qu’à vous amuser, vous vous trompez fort.
Dieu ne crée pas d’êtres de luxe et de fête et, dans la grande œuvre que nous poursuivons, vous devez nous aider. Ne vous excusez pas