Page:Condillac - Essai sur l’origine des connaissances humaines, Mortier, 1746, tome 2.djvu/100

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

& la sculpture. Nous croyons seuls ressembler aux anciens ; mais que, par cet endroit, les italiens leur ressemblent bien plus que nous. On voit donc que, si nos spectacles sont si différens de ceux des grecs & des romains, c’est un effet naturel des changemens arrivés dans la prosodie.