l’attachement et de la reconnaissance de notre confrère.
Nous sommes au commencement de 1776. À la fin de l’année suivante, le 24 novembre 1777, l’auteur de Mérope écrivait encore à notre ancien secrétaire :
« Je serai tendrement attaché, tant que je respirerai, à celui qui fait la gloire de l’Académie des sciences, et je souhaite qu’il daigne un jour faire la nôtre. »
Lorsque l’histoire littéraire fait tristement mention de tant de candidats qui n’arrivèrent à l’Académie qu’après avoir été longtemps solliciteurs, il devait m’être permis de montrer un homme de lettres devenant académicien après avoir été longtemps sollicité.
Le cours ordinaire, le cours régulier des choses de ce monde, jette des jours de deuil, de larmes, de profonde douleur, même au mi-