journal en grande partie, en attendant que M. D’Alembert
vous la lise tout entière. Madame de la
Ferté-Imbault, honteuse de la lettre qu’elle a écrite
à M. D’Alembert, en a fait une autre qu’elle montre
à ses amis. M. de Maurepas l’a vue en conséquence,
et a dit à son beau-frère
[1]
que cette lettre n’était pas si ridicule qu’on le disait. M. de Nivernois a demandé l’original et le lui a montré ; M. de Maurepas l’a trouvé tout différent du brouillon qu’elle lui avait fait lire, et en a jugé comme tout le monde.
Vous croyez bien que je me trouve fort malheureux d’être séparé de vous pour si longtemps.
Présentez, je vous supplie, mon respect à madame d’Enville et à toute sa famille.
- A la Roche-Guyon, le 21 novembre 1776.
Nous sommes ici plus au courant que vous, car nous avons les vers [2] à madame Necker, et l’on en fait actuellement une copie qui partira avec cette lettre. La pensée y est assez enveloppée pour que l’homme aux enveloppes [3] s’en contente. Quoique plus d’un chemin mène au paradis ainsi qu’à la gloire,