No 8. — LES ABYMES.
J’ai l’honneur de vous retourner l’adresse au roi votée par le Conseil colonial, que vous m’avez adressée avec votre lettre du 11 de ce mois, et qu’il ne m’a pas été possible de vous envoyer plus tôt, ayant été obligé de la faire signer à domicile par les habitants, dont la plupart sont très éloignés de la mairie ; encore n’ai-je pu obtenir autant de signatures que je l’aurais désiré.
Agréez, je vous prie, Monsieur le Président, l’assurance de ma haute considération.
(Au bas d’un exemplaire de l’adresse au roi se trouvent écrites les lignes suivantes : )
Les habitants des Abymes, soussignés, adhèrent complètement à l’adresse ci-dessus, votée par le conseil colonial dans sa séance du 10 juillet 1847.
No 9. — COMMUNE DU BAILLIF.
J’ai l’honneur de vous adresser l’acte par lequel la commune du Baillif a adhéré aux mesures prises par le conseil colonial pour opérer notre transformation sociale.